Tes désirs font mon désordre,
Pendre encore mes jambes à ton cou,
Ma réalité dépasse nos frictions.
/////
C'est la foire quand on s'empoigne ...
/////
Et ça chauffe quand on se colle,
Pas à la colle, juste à l'abondance de se faire du bien,
A ce Seigneur, tous mes honneurs.
/////
Nos jeux sans demain ne sont pas si vilains ...
/////
Tant qu'on sait qu'on n'a rien à faire de cette petite affaire,
Jamais au pied du mur, les cinq à sept de midi à quatorze heures,
Le gentil démon de l'après-midi, l'échappé qui se fait la belle.
/////
A moi ta barbe, à l'autre la perruque ...
/////
Quand tu as tiré de ta main mes cheveux,
Qu'à cela ne tienne, si ce n'est qu'à un fil,
Il fait beau de te revoir.
/////
Tu fais le Baron pour moi qui fût Marquise ...
/////
Et de mes bottes j'ai fait mouche,
A discrétion en toute discrétion, nos récréations,
Pas de bile, ni de bille en tête, juste être à la fête.
/////
Me la couler et être douce avec toi ...
/////
Dans de beaux draps, ça et des bas de soie,
De toi je ne veux que la douce folie,
Prends ma peau, au feu les chagrins.
/////
Après, il faudra c'est certain tirer l'échelle ...
/////
Même si je rêve d'un Mars en Carême,
Comme entendu le tu autem,
A cela un jour nous mettrons un terme.
Edith Piaf
"Milord"
"Il fait si froid dehors,
Ici, c'est confortable, laissez vous faire Milord,
Vos peines sur mon coeur, et prenez bien vos aises, ...
Ta da da da da da //// Ta da da da da da //// Ta da da da da da //// Ta da da da da da ..."
Variations autour d'expressions, je vous vois venir bande de polissons !!!!
Les hallucinations hypnagogiques s'invitent entre les interstices des micros réveils,
Nuits mille feuilles ou en tranches napolitaines,
Créneaux alloués par Morphée quand il est mal luné,
Jouant de l'atonie mécanique, la fourbe paralysie nocturne se convie aux nuitées.
Catin de l'obscurité qui vient de tout son poids peser sur la cage thoracique,
Incubus polymorphe qui telle la pieuvre, de ses tentacules annihile tout mouvement,
Quand la glycine se libère, les chiens volants se ruent sur la couche.
Rêve ou réalité tronquée, l'esprit ne cesse d'hésiter, jusqu'à se duper.
Hôte envahissant des parasomnies, il vient briser les ténèbres,
Hachant par le menu, faisant des heures indues de sommeil,
A l'endormissement surgit, s'immisçant avec fourberie dans la sommaire apraxie.
Se parant de l'éphémère immobilisme pour y installer l'effroi.
Glacer le sang, scier la gorge, le malfrat escamoteur de chimères,
Brigand roublard aux mille faux-semblants, s'amuse d'illusions,
Se débattre quand il s'abat desservira, panique d'un corps à l'inertie,
Telle la corde qui se tend et augmente l'étouffement.
Parfois si puissant que la peau elle même sent, l'ouïe entend,
Mais le muscle reste inerte, telle est son arme secrète.
La réalité devient suspecte, le cauchemar semble la vérité,
Seul l'affolement des globes oculaires peut délivrer.
Mystifiant si bien le réel qu'il, ou elle, trouble à l'extrême,
Toucher ce bras, qui ne me répond pas, étouffer des cris, qui ne sortent pas,
Te Parer de noir et me renverser, me voir me débattre sans pouvoir bouger.
Souffle coupé, et énergie dilapidée, enfin extirpée, retrouver Morphée est un combat,
Aux abois, de peur qu'il me guette, ou qu'elle ne revienne, qu'il s'impose encore et me malmène.
Crois moi je vais te mettre à pieds,
Tu dormiras à mes pieds,
crois moi je vais te dompter !
Oh oui je vais battre des cils,
mais non pour te séduire,
juste te réduire, et te détruire.
IL a les bras du désir de s'y blottir,
IL a l'odeur qui incite à s'y lover,
IL a le sens du détail qui pousse à la faille,
IL a le mot qui ne sonne jamais faux,
IL a dans le grain de voix le velours qui laisse aphone,
IL a les épaules larges à s'en envelopper,
IL a les mains que je voudrais guider,
IL a les phalanges que je voudrais croiser,
IL a les yeux que je voudrais faire étinceler,
IL a le goût de la robe avinée, qui coule et émoustille les papilles,
IL a la douceur au delà de l'ours mal léché,
IL a le miel de mes pensées,
IL a les maxillaires que je voudrais des lèvres dessiner,
IL a le torse que je voudrais débrailler,
IL a le coffre que je voudrais entendre râler,
IL a d'être partout où je n'osais l'attendre,
IL a que je ne m'attendais pas à ça,
IL a dans ses absences mes rêves les plus intenses,
IL a de ne pas me lasser,
IL a ce savant mélange d'ami, d'amant et d'élégant,
IL a mes envies de tout oublier,
IL a d'être là depuis longtemps,
IL a l'aisance et la distance de celui, ...
IL a sans mot dire tout bon,
IL a de voir juste quand je m'ajuste,
IL a de quoi faire des envieux,
IL a de quoi être plus que précieux,
IL a le sauvage à dompter,
IL a les warnings de toutes mes attentions,
IL a le flegme de l'authentique rebel,
IL a la classe anglaise du rouleur d'américaine,
IL a qu'il laisse une indélébile empreinte, sans feinter,
IL a de quoi marquer au fer rouge mes souvenirs,
IL a le doux dans les moments graves,
IL a la pupille qui me fait frétiller,
IL a le sourire qui m'a chaviré,
IL a de me pousser là où je n'osais plus aller,
IL a à mon endroit plus d'un revers de manche,
IL a déclenché un crush à son approche,
IL a éteint mes peurs et sans reproche,
IL a absorbé mes doutes sans s'en douter,
IL a pulvérisé mes errances,
IL a à l'envie le jeu des phrases qui me font rire,
IL a les sons qui fusent bon,
IL a les références de bon ton,
IL a la timidité appropriée à la situation,
IL a chamboulé mes pensées,
IL a renversé mon sommeil,
IL a ....
IL n'a qu'un mot à dire,
IL n'a qu'à se servir, ....
et
IL aura mes soupirs.
Pas t'aimer toi, pas t'aimer toi, comme un mantra,
Ce jeu entre toi et moi catalysant mes émois, et moi, ... et moi dans tout ça ?
Une bagatelle presque sans jouissance ou si ... parfois,
Toi et moi, quand on s'agace, qu'on louvoie.
Un divertissement brûlant, frôlant l'indécent, si friable et persistant.
L'un relance quand l'autre presque s'en va, un goût de reviens-y et d'échappe-toi,
Mais pour un like de toi, je ne ferai pas n'importe quoi ...
Sans case, pas de cause perdue, pas de close, pas de contrat, qui vivra verra ...
Ton inconstance et mes silences, pas d'impatience, pas de pression,
juste un soupçon de frissons.
Un rien de manque pour faire envie, drôles et divines duperies.
Est-ce qu'on est quitte si je te double sans céder à ton tiercé et si un autre ravit mon trouble ?
Mes hashtags à déchiffrer, mes marqueurs en images-temps .... à suivre, ou pas.
A sa place, je ne serai pas mieux me sachant là, finalement je préfère ....
être là ... sans y être ...
A la tienne Joli Garçon du Canal, une tournée et l'addiction !
Agaçant le sapio profil, instruisant de tes vices, mais dans le salace jamais ne glisse.
Taquin, coquin, idiot de pacotille, tu le sais, tu me titilles, mais sans supplice.
Compliments, compliqués et un rien complices.
Tu m'amuses, je te fais muse, amusante, pas frustrante, juste attachiante et un rien déroutante.
Jouons des mots, tant que j'ai pas mal, et tant qu'il n'y a pas de mâle en solo sur mon verso.
Allons-y franco dans nos tromperies de dupes, tu sais le dessous de mes jupes.
Je sais tes tenues de gala quand aux aurores le mahari's carmin s'évapore à quai.
Pas amants, on se chahute gentiment, ni maître, ni maîtresse, un brin de séant,
Un zeste de tendresse, la cession à la tentation, à l'envie, à l'attrait de l'interdit ...
qu'on s'est autorisé ne pouvant y résister.
Puisque tu voulais rester, je t'ai fait place, du velours comme au Palace bogosse-badass !
Double O pour notre premier contre, drôle d'endroit pour une rencontre.
Contre toute attente, ni Urgo, ni sur liste d'attente, l'ectoplasme vivant en quadrimestriel,
Protection rapprochée, je vais la jouer en pointillé, laisser filer ou m'envoler.
Tu as fait vibrer mon imagination et mes sens, gentiment tu m'as cuisiné,
Jamais barbant, au risque d'être erasé, cherchant la faille pour s'y glisser,
Cute amoureux et infidèle, joli toxic dont l'intelligence n'a rien d'artificielle.
Ravie de t'avoir rencontré, revu, perdu de vue et retrouvé,
Mais au risque de me cramer mieux vaut de ce jeu m'échapper,
m'évader avant, ...
Que les sentiments ne jouent au shibari et de t'avoir dans la peau.
Tu es incontestablement charmant, mais je ne suis pas un supplément.